La fatigue, le stress, les nuits courtes et les journées longues, sont choses courantes pour un travailleur autonome. Encore pire, pour un travailleur autonome qui débute. D’ailleurs, jusqu’à quand on peut dire qu’on débute? Ça fera 1 an que je fais ça à temps plein et 2 ans au total, j’ai encore l’impression que je serai une éternelle débutante. À quand l’horaire parfait? Les millions? Et les vedettes à photographier?
Ce matin, comme plusieurs matins où je travaille, je suis allée prendre ma marche. Munie de mon nouveau manteau rose et de mon fidèle Iphone, j’ai marché pendant une trentaine de minutes. Le seul hic? J’avais l’impression d’être une zombie. Mes paupières étaient lourdes, très lourdes… C’était comme un spectacle de Mesmer dans ma tête, j’en suis sure, j’étais hypnotisé par moi-même! Les yeux me fermaient et je marchais dans la rue sans rien voir. Dans le sécuritaire, on fait pas mieux! Bien que la température automnale influence probablement beaucoup mon humeur, je suis une grande dormeuse de nature. À ce point, c’est un réel défaut. Dites-vous que lorsque le fait que vous dormez beaucoup le matin est une des raisons pour laquelle vous choisissez d’être travailleur autonome, et bien vous savez que vous aimez un peu trop la chose. Et oui, le fait d’être travailleur autonome me permet de me lever à 8h30 et même ça, c’est tôt pour moi. Par contre, ça me rend beaucoup plus productive que lorsque je me lève à 7h00 ou même 6h30. J’en entends plusieurs déjà: «Non mais, attends d’avoir des enfants». Je le sais. À ce moment, je serai réellement rendue zombie. Mais, ne vous inquiétez pas, je suis un peu zombie, mais rien à voir avec le fait de manger d’autres humains, de baver ou d’avoir le teint vert (quoique…).
Je suis encore présentable… pour l’instant!
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